Leroidek a écrit :Merci de confirmer que vous dites du grand n'importe quoi. ONIC , n'existe plus depuis 2006, tout comme le FIRS, ou l'ONIOL, tous regroupés dans l'ONIGC. C'est un établissement d'Etat français sous la tutelle du Ministère de l'agriculture, je ne vois donc pas le rapport avec les spéculateurs ou les meuniers.
La sottise c'est de prétendre que dans un marché haussier du blé, le prix de la farine devrait baisser.
C'est déblatérer que chercher à jeter l’opprobre sur la corporation de la meunerie en développant un argumentaire ubuesque.
Si vous voulez trouver les responsables de la spéculation, cherchez plutôt du coté du FOREX. Et si vous cherchez la cause sous-jacente de la hausse, voyez du coté de la baisse de production conjoncturelle et de l’accroissement structurel de la demande due à la surpopulation et au développement de certaines régions du monde.
Mais de grâce, n'accusez pas sans preuve les meuniers qui ne sont comme les boulangers et les consommateurs que des victimes d'un état de fait sur lequel ils n'ont pas de prise.
Que l'onic ait change de nom, c'est comme l'anpe qui a change de nom mais pas de sa destination, ou une femme de menage qui est devenue une technicienne de surface.
Ce document est toujours obligatoire meme s'il s'appelle autrement maintenant.
Lorsque je lis ce document, qu'est-ce que je constate ?????
1) Date d'achat, quantite, prix.
2) Date de vente a l'export, quantite, prix.
3) Vente aux GMS et artisans mais la n'est pas le sujet.
Entre le 1) et le 2) , a chaque fois les ventes a l'export sont au moment du cours le plus haut.
Jamais je n'ai lu un onic ou la vente a l'export etait au meme cours.
S'ils revendent a l'export, c'est donc bien qu'ils ont achetes en quantite pour pouvoir revendre au cours plus haut.
Mais, c'est peut etre de la sottise de savoir lire entre les lignes et savoir decripter les chiffres.
Je n'accuse donc pas sans preuves les gros meuniers ( j'ai bien sité les gros meuniers, les petits, je ne pense pas qu'ils aient les moyens de faire ces transactions ).
Les gros speculent sur notre dos et les victimes, ce sont nous et les consommateurs.