Un café-boulangerie haut de gamme
- Alain
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juil. 2006
vendredi
07
08:06
Un café-boulangerie haut de gamme dans le Vieux Québec.
L'ouverture du café-boulangerie Paillard représente le rêve d'une vie pour Yves Simard, homme d'affaires bien connu de la région de Québec. Sis sur la rue Saint-Jean à l'intérieur des murs de la ville, le Paillard se veut la réunion des grandes forces de la France et de l'Amérique.
«En France, ils font le meilleur pain et les meilleurs sandwichs, explique Yves Simard. Mais, c'est long à obtenir un sandwich dans une boulangerie. Aux États-Unis, ils font des mauvais sandwichs, mais c'est rapide. L'objectif, c'était de réunir les deux.»
Pour atteindre ce but, M. Simard est allé rencontrer l’un des plus grands boulangers de Paris, Dominique Saibron. Ce dernier a participé activement à la formation des boulangers de Paillard et à l’élaboration des pains. Il a d’ailleurs accueilli pendant plusieurs mois les boulangers québécois dans sa boulangerie parisienne.
Côté nord-américain, M. Simard et ses collaborateurs ont développé une méthode de travail qui permet de préparer 200 sandwichs à l’heure. «À la commande, précise-t-il. On ne les prépare pas à l’avance.»
Si Yves Simard a mis autant d’attention dans le développement de son produit, c’est qu’il connaît bien la recette du succès. Il a débuté dans le monde des affaires et de la restauration dans les années 50. On lui doit d’ailleurs la première discothèque ainsi que le premier MacDonald’s de Québec.
Fort de cette vaste expérience, il a mis beaucoup d’emphase à la création de la marque de commerce Paillard. Le concept se veut donc facilement exportable, même si ce n’est pas dans les plans pour la prochaine année. «C’est dans l’univers des possibilités, avoue M. Simard. On se donne un an pour digérer tout ça et former le personnel. Parce que je ne veux pas ouvrir de franchises. (Si d’autres Paillard ouvrent) je veux le faire moi-même avec des employés-partenaires.»
Faire confiance aux jeunes
Lors de la conférence de presse pour l’ouverture de Paillard, Yves Simard a souligné à maintes reprises toute l’importance qu’il accorde à faire travailler les jeunes.
De la quarantaine d’employés de Paillard, on compte .............
http://www.quebechebdo.com/article-1965 ... uebec.html
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Ne vendre que ce que l'on est capable de manger soi même.
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- Marie
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juil. 2006
samedi
08
14:07
moi, ce que je trouverais intéressant comme concept, c'est la chambre d'hôte du pain... Recevoir des 'invités" chez soi et faire le pain tous les jours avec eux, pour eux et pour les hôtes, bien sur. Sur un décor avec pour thème : le blé (par exemple), concevoir un décor champêtre en forme d'épi...
Allez, même les comptables ont de l'imagination parfois !
Excusez-moi de cet écart :pardon

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juil. 2006
samedi
08
17:15

Bien sur que l’on te pardonne tes écarts (bien que normalement chez les comptables les écarts ne soient pas admis). Tu es l’épistolière de « la boulange vive », toi qui apporte les mots qui font tourner les lettres de nos fournils, comme l’aurait dit un certain Alphonse de Fontvieille.
On compte sur toi pour aller jusqu’au bout de tes imaginations comptables sans nous rouler dans la farine, mais tu es loin du compte si tu alignes ceux d’un éventuel « hôte du pain », engrangeant le blé des produits de sa meunerie artisanale de terroir. Bien sur que ses miches se vendraient comme des petits pains, mais les touristes de passage auraient tôt fait de le mettre sur la paille, à moins que sa bucolique comptable ne se soit chargée au préalable de le rouler dedans.
Travailler dans un décor champêtre en forme d’épi peut être assimilé à mettre un pied dans la tombe, car il ne faut pas associer l’épi et le taf.

entre deux solutions je choisis toujours la troisième