vanilline

[Alain]

Une bouse de vache cuite pendant une heure et soumise à pressurisation finit par dégager une douce odeur de vanille, utilisable pour fabriquer du shampoing et des bougies aromatiques, a découvert une scientifique japonaise travaillant pour le gouvernement.

Selon Mayu Yamamoto, chercheuse au Centre médical international du Japon, la bouse soumise à ce traitement dégage de la vanilline, le composé aromatique que l'on trouve dans les vraies gousses de vanille.

"C'est exactement le même composé, mais il sera difficile pour le public d'accepter de le retrouver dans des aliments, vu les récentes lois imposant de dévoiler sur les étiquettes l'origine des produits", a commenté Mme Yamamoto.

La vanille provenant de bouses de vache, qui coûte deux fois moins cher que celle extraite des gousses de vanille, pourra en revanche servir à fabriquer du shampoing, des chandelles sentant bon, et autres produits non comestibles.

L'équipe de Mme Yamamoto espère mettre au point d'ici deux ou trois ans une machine capable de transformer plusieurs tonnes d'excréments bovins par jour. Un tel procédé contribuerait en outre à résoudre les problèmes de recyclage de la bouse de vache auxquels sont confrontés les fermiers.

[Jean-paul Boyer]

Miam!!

[Lionel]

Un bon gâteau au parfum de bouse.....euh pardon de vanille !

[Marc]

Allons, allons, il y a longtemps que l'on nous aromatise de la sorte.
Saviez-vous que si l'arome de vanille précité arrive sur le marché et bien il sera présent sur l'étiquette sous la forme "arome naturel" , la bousse de vache étant naturel.
hoooo!
P't'être quelque chose à changer au niveau loi ?
Si vous voulez en savoir plus, je vous conseille le livre;

Arômes dans notre assiette, la grande manipulation
Hans-Ulrich Grimm, édition Terre Vivante
224 pages, 18,50 €    
Présentation du livre par l'éditeur: Les arômes nous font avaler tout et n'importe quoi. Ce que nous mangeons n'est plus préparé en cuisine mais en laboratoire. Où s'arrêtent les procédés industriels et où commence la manipulation de nos préférences et de nos habitudes alimentaires ? Quel impact sur la santé ? Les étiquettes disent-elles la vérité ? Une visite édifiante dans les arrière-cuisines de l'industrie alimentaire.

[Gazgaz]

on savait déja que tout été bon dans le cochon...
bah maintenat sa va marcher aussi avec les vaches...

[Picola]

- On peut légitimement se demander ce qui a bien pu pousser cette chercheuse japonnaise à cuire de la bouse de vache dans sa casserole à pression ?
- D'ici qu'on se mette à faire mijoter tous les types d'excréments disponibles pour voir s'il n'en sortait pas quelque subtil parfum aphrodisiaque ? Bon, et si après ça sentait toujours la m... ?    
!!! On pourrait peut-être suggérer cette idée à nos agriculteurs, ils pourraient le cuire leur purin avant de l'épandre sur les champs, au moins ça sentirait plus le patchouli !  

[Laurent]

Le pire c'est que chez bien des gens et malheureument chez les enfants, le goût de référence de la vanille ou de la fraise par exemple n'est plus celui du fruit original mais celui de l'arôme de synthèse.

[Marc]

Le pire c'est que chez bien des gens et malheureument chez les enfants, le goût de référence de la vanille ou de la fraise par exemple n'est plus celui du fruit original mais celui de l'arôme de synthèse.

Tu as raison et cela me fait vraiment peur !
Heureusement que l'on peut encore parler ici.

[Lionel]

ça me fait penser aux mousses à la fraise que l'on peut trouver chez certains patissier industriels ou non qui sentent trop la fraise pour être vrai.....

[Gazgaz]

aussi comme la belle pistache verte.....

[31abc]

Une bouse de vache cuite pendant une heure et soumise à pressurisation finit par dégager une douce odeur de vanille, utilisable pour fabriquer du shampoing et des bougies aromatiques, a découvert une scientifique japonaise travaillant pour le gouvernement.

Selon Mayu Yamamoto, chercheuse au Centre médical international du Japon, la bouse soumise à ce traitement dégage de la vanilline, le composé aromatique que l'on trouve dans les vraies gousses de vanille.

"C'est exactement le même composé, mais il sera difficile pour le public d'accepter de le retrouver dans des aliments, vu les récentes lois imposant de dévoiler sur les étiquettes l'origine des produits", a commenté Mme Yamamoto.

La vanille provenant de bouses de vache, qui coûte deux fois moins cher que celle extraite des gousses de vanille, pourra en revanche servir à fabriquer du shampoing, des chandelles sentant bon et autres produits non comestibles.

L'équipe de Mme Yamamoto espère mettre au point d'ici deux ou trois ans une machine capable de transformer plusieurs tonnes d'excréments bovins par jour. Un tel procédé contribuerait en outre à résoudre les problèmes de recyclage de la bouse de vache auxquels sont confrontés les fermiers.

bonjour, j'aimerais savoir si ce procédé est utilisable dans le domaine de la parfumerie ?