[39] Appelé dans la version latine de DELOBEL ; Zea olyra. Chez les divers auteurs grecs et romains, le zea olyra et le zea typha seront parfois déclarés les mêmes et le plus souvent séparés (voir J.DALECHAMPS, p. 326 & 327). PLINE (livre 18 ch. XI.1.) «En Égypte, on fait une sorte de pâte avec l'olyra, qui est regardé comme une troisième sorte de blé». L'olyra est dit croissant en plusieurs lieux d'Allemagne où il porte le nom d'Amelkorn que certains dictionnaires traduisent par triticum diccocum, soit emmer actuellement en allemand et amidonnier en français. C'est en respectant les premiers écrits émanant du Sud de l'Europe (Grèce, Italie) que les auteurs placent ces références anciennes. Comme l'écrit en couverture R.DODOENS, s'il mentionne aussi les étrangères, c'est parce qu'ils viennent en usage de médecine.